MA SERRE DOUBLÉE AVEC 2 PLASTIQUES

Lors d'un chantier triangle chez un collègue, ou d'un chantier de prototypage, venez donner un coup de main, d'abord pour vous faire des copain(ne)s et en apprendre plus sur la démarche collective de l'autoconstruction !
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Re: MA SERRE DOUBLÉE AVEC 2 PLASTIQUES

Message par SERRE du SUD »

:mrgreen: L’ineptie dans ce type d'article merdiatique (très parisien) est de n'avoir jamais fait une heure de recherche scientifique et... de donner des leçons voire des preuves !!

A savoir que, depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eaux (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont jetés dans les mers & les océans !! SANS qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !! (mais que fait la police ??).

L'eau s'infiltre continuellement au fond des bassins vers la masse ferrique incandescente appelée magma. Cette eau en galeries souterraines est chauffée/brûlée et repart (d'où elle est arrivée à 78 %) ou sous les terres (à 22 %) pour remplir les nappes phréatiques et sortir aussi aux sources de montagnes.

Cette eau est donc propre, pure, sans odeur, sans couleur, sans goût et sans bactérie.
Il n'y a donc PAS une goutte d'eau en plus ou en moins sur notre planète depuis DES milliards d'années. C'est pourquoi les animaux comme les plantes peuvent donc boire autant d'eau qu'ils veulent, il y en aura toujours autant. :D

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Re: MA SERRE DOUBLÉE AVEC 2 PLASTIQUES

Message par SERRE du SUD »

« On récolte désormais l’urine pour en faire un produit que l’on répand sur les champs »


11 Avril 2024
Glané sur la toile 992


Mon résumé : l'urée tirée de l'urine – oups ! un produit tiré de l'urine – c'est bien, ça nourrit le sol et les plantes. L'urée de synthèse, c'est mal, ça stérilise le sol... Parole de sévice public...

Le 18 mars 2024, France 5 a diffusé un volet de Sur le Front pompeusement intitulé « Enquête sur le sol qui nous nourrit »

Ce qu'en dit – tout aussi pompeusement, mais n'est-on pas mieux servi que par soi-même ? – le site Internet :

« Dans ce format original mêlant enquête et découverte de nos écosystèmes les plus précieux, Hugo Clément nous emmène au plus près des femmes et des hommes qui se battent pour défendre la planète. Ceux qui consacrent leur vie à protéger la biodiversité, à dénoncer les excès de notre société de consommation et proposent des solutions pour rendre notre monde plus "vert". »

Une séquence se rapporte à la collecte d'urine et à sa valorisation – comme engrais.

Commentaire :

« Pourquoi se met-on à récolter cette matière première ? Parce qu'il y a une prise de conscience dans le monde agricole. Les engrais chimiques appauvrissent les sols. Il faut trouver un plan B. On utilise les nutriments qui sont dans l'urine pour nourrir les micro-organismes qui vont stimuler la plante en utilisant moins d'engrais chimiques, de pesticides et ces choses-là. »

Mon commentaire : c'est d'une débilité crasse !

Mais c'est notre service public, Sur le Front, Hugo Clément...

https://seppi.over-blog.com/2024/04/on- ... hamps.html

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Re: MA SERRE DOUBLÉE AVEC 2 PLASTIQUES

Message par SERRE du SUD »

:mrgreen: L'excrétion de l'urine comme des excréments solides est l'analyse et l'évacuation d'une partie de notre alimentation non-propre à notre organisme (comme le font tous les animaux ainsi que les plantes. C'est ce qui s'appelle - chez les plantes & les arbres - les feuilles jaunies, les branches mortes dans (par exemple:) les platanes qui n'ont reçues ni attaque prédatrice d'insecte ou victimes de maladie.

Mais, si les sols renferment des éléments toxiques ce ne sont pas des éléments toxiques pour tout le monde !

Effectivement, chaque plante consomme ses préférences et absorbe aussi - involontairement - d'autre éléments. C'est ce qui est reconnu sur les notifications des engrais en NPK (N pour azote, P pour acide phosphorique et K pour potasse).
Il n'y a donc pas lieu d'alarmer qui que ce soit parce qu'il a uriné ou déféqué au pied d'un arbre ! A chacun sa nourriture !

Donc: Il n'y a aucun mal à rendre à la Terre ce qui a été absorbé.

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Re: MA SERRE DOUBLÉE AVEC 2 PLASTIQUES

Message par SERRE du SUD »

:mrgreen: Vérification des faits : l'agriculture sans animaux – trois mythes démontés


2 Mai 2024
Ulrich Graf, AGRARHEUTE*


Les animaux quittent-ils l'agriculture ? Une étude de l'Öko-Institut réalisée à la demande de Greenpeace prévoit une réduction drastique des effectifs.

Depuis sa création, l'agriculture repose sur deux piliers : la culture et de l'élevage. Cela doit désormais changer, c'est du moins ce que demandent certains groupes d'intérêt. Les arguments sont-ils valables ?

Comment réduire les émissions de 'gaz à effet de serre' et les surfaces fourragères de l'élevage ? L'option la plus simple est de réduire les effectifs. Mais tant que les Allemands continueront à manger de la viande et à boire du lait, ainsi qu'à casser un œuf avec plaisir dans la poêle, ce serait une entreprise plutôt inutile du point de vue de la protection du climat.

Cela ne ferait que déplacer la production, avec les conséquences négatives que l'on connaît, comme des trajets de transport plus longs et une production moins contrôlable.

Les consommateurs déterminent ce qui est produit, également en ce qui concerne l'empreinte carbone

Il faut donc un paquet global qui englobe le consommateur. Le régime Planetary Health Diet (PHD) en fournit les prémices. Sa proposition d'alimentation fortement basée sur les plantes doit permettre à quelque 10 milliards de personnes de vivre sur Terre d'ici 2050, sans pour autant surexploiter les ressources de la planète. Le régime mise sur plus de céréales et moins de viande dans le menu. Pour le bœuf ou le porc, cela ne représente plus que 7 grammes par personne et par jour. Le rôle de source de protéines est repris par les légumineuses. Par rapport à la quantité consommée aujourd'hui, on trouve dans le plan PHD une valeur 19 fois supérieure.

Ainsi, argumentent les partisans du régime, plus rien ne s'oppose à une alimentation ayant une meilleure 'empreinte carbone' et nécessitant moins de surface. Ou bien si ? La grande inconnue est le consommateur. Ce n'est que lorsqu'il apparaîtra qu'un grand nombre de consommateurs changent de régime alimentaire qu'il appartiendra aux agriculteurs de réagir au changement de comportement des consommateurs. Cela signifierait alors réduire encore plus le nombre d'animaux, déjà en baisse, et étendre la culture de légumineuses à grosses graines. Les détracteurs de l'élevage d'animaux de rente espèrent ainsi obtenir toute une série d'effets positifs.

Étude : Une alimentation 'saine pour le climat'

L'Öko-Institut a réalisé à ce sujet l'étude « Gesundes Essen fürs Klima » (une alimentation saine pour le climat). L'institut arrive à la conclusion que si l'on se nourrissait selon le Planetary Health Diet, les besoins nationaux en surfaces agricoles seraient réduits à 7,3 millions d'hectares. Ces besoins se composent de 4,0 millions d'hectares pour la culture d'aliments végétaux, de 1,9 million d'hectares pour l'alimentation animale et de 1,4 million d'hectares de prairies.

Cela suppose une réduction drastique du cheptel, de 72 pour cent pour les bovins et de 84 pour cent pour les porcs. Selon l'étude, il en résulterait une nette diminution de l'empreinte 'gaz carbonique' provenant de l'alimentation. L'environnement s'en trouverait soulagé. Ces effets attendus se produisent-ils réellement dans les proportions prévues ? Le Wochenblatt [un hebdomadaire destiné aux agriculteurs et aux personnes intéressées par la vie à la campagne] a mené ses propres recherches à ce sujet.

Mythe 1 : Les légumineuses sont dans tous les cas bonnes pour l'environnement

Pour les agriculteurs, le sol est le principal moyen de production. Il est donc dans leur intérêt de préserver la santé des sols. Et c'est là que le régime Planetary Health Diet prend tout son sens. Mais avec l'extension de la culture des légumineuses, un risque que l'on pensait avoir surmonté est sorti de l'oubli : la fatigue des sols due aux légumineuses.

Les légumineuses sont des éléments très précieux de la rotation des cultures, mais elles posent un problème de taille : un manque d'auto-compatibilité. Un retour trop fréquent de la culture leur est donc préjudiciable. C'est pourquoi elles ne devraient être cultivées à nouveau sur la même surface qu'avec un intervalle de temps suffisant. L'Institut Bavarois de l'Agriculture donne les recommandations suivantes concernant les intervalles de culture nécessaires pour les légumineuses à grosses graines :

Pois : 5 ans d'intervalle entre les cultures ;

Féveroles : 3 ans d'intervalle entre les cultures ;

Lupins : 4 ans d'intervalle entre les cultures ;

Soja : 1 à 2 ans de culture supplémentaire possible ;

Lentilles : 5 ans d'intervalle entre les cultures ;

Vesce : 3 ans d'intervalle de culture.

Dans l'agriculture biologique, un aspect supplémentaire entre en ligne de compte. Les légumineuses à petites graines sont les principaux auxiliaires pour l'équilibre de l'humus et de l'azote. Les légumineuses à grosses graines doivent également respecter un intervalle de temps avec elles. Le risque peut certes être quelque peu réduit par la culture de mélanges, donc de trèfle, mais il subsiste. Ainsi, une part élevée de légumineuses à grosses graines dans la rotation des cultures devient un jeu à risque, surtout si des légumineuses à petites graines s'y ajoutent.

Parmi les légumineuses indigènes, on compte les pois, les fèves et féveroles, les lupins et les lentilles. Le soja vient s'y ajouter et a le vent en poupe. La féverole est principalement cultivée pour l'alimentation animale. Le soja, les lupins et les arachides font partie des 14 substances allergènes les plus fréquentes et doivent donc être déclarés dans les aliments. C'est pourquoi de nombreux produits végétaliens misent sur les protéines de pois. Pour cette raison, le pois est la légumineuse à grosses graines la plus cultivée en Allemagne – jusqu'à présent à un niveau non critique et avec une grande marge de progression. Avec une campagne de culture et cinq ans d'attente, il est possible d'atteindre une part d'assolement d'un sixième, soit 17 %. En 2023, les agriculteurs cultivaient des pois sur 117.000 hectares en Allemagne. Sur une surface totale de terres arables de 11,7 millions d'hectares, cela correspond à 1 %. Le rendement moyen par hectare était de 2,3 tonnes en 2023. La quantité totale s'élevait à 264.000 tonnes.

La fatigue des légumineuses menace

Dans le cas d'une alimentation végétale renforcée selon le Planetary Health Diet, la culture de légumineuses à grosses graines devrait être étendue. Dans son étude « Gesundes Essen fürs Klima », l'Öko-Institut prévoit à cet effet une demande de 2,5 millions de tonnes. Soit environ dix fois la quantité actuelle de pois récoltés. Avec le niveau de rendement de 2023, cela correspond à une surface cultivée de 1,1 million d'hectares. Par rapport aux 4,0 millions d'hectares de surfaces destinées aux denrées alimentaires végétales, cela représente une part de rotation des cultures de 28 %– donc nettement supérieure à la valeur autorisée. Une fatigue des légumineuses menacerait donc. Si elle se produisait, c'est tout le système qui capoterait – donc aussi l'alimentation selon le Planetary Health Diet.

Il est bien sûr possible d'intégrer d'autres légumineuses dans la rotation à la place des pois. Mais en tant que légumineuses, elles relèvent toutes du même complexe d'action. C'est encore le soja qui est le mieux toléré. Il tolère une part de rotation des cultures supérieure à 20 %. Toutefois, il en résulterait alors une monoculture de légumineuses. Le régime est donc plus ou moins adapté selon les régions du monde. En Amérique du Sud, il fonctionne bien avec le soja local, en Europe, il fonctionne moins bien avec les légumineuses à grosses graines locales, qui sont ici peu autocompatibles.

Conclusion pour le mythe 1, « Dans tous les cas, c'est bon pour l'environnement » : Une part trop importante de légumineuses à grosses graines dans la rotation des cultures pourrait couper l'herbe sous le pied du Planetary Health Diet lui-même. L'objectif de réduction de l''empreinte carbone' provoquerait une nouvelle crise avec la fatigue des légumineuses dans les sols. Cela n'a aucun sens. En fin de compte, les agriculteurs se retrouveraient à nouveau sur le banc des accusés – alors à cause du sol. Celui qui a donné l'impulsion initiale ne devrait plus intéresser personne par la suite.

Mythe 2 : La réduction du nombre d'animaux libère de grandes surfaces

Selon le Centre Fédéral d'Information sur l'Agriculture, 8,6 millions de tonnes de céréales ont été produites au cours de la campagne agricole 2022/23 directement pour l'alimentation humaine. Il s'agissait principalement de blé et de seigle. L'augmentation de la part des céréales dans le Planetary Health Diet exigerait d'augmenter cette quantité d'environ un quart. Dans son étude, l'Öko-Institut a calculé une valeur de 10,6 millions de tonnes de céréales pour l'Allemagne.

Mais en même temps, de grandes surfaces cultivables seraient libérées, qui servent jusqu'à présent à la production d'aliments pour animaux. Pour la céréale de loin la plus importante, le blé, on obtient par exemple les rapports de quantités suivants : en 2023, la récolte s'élevait à environ 22,1 millions de tonnes. C'est plus du double de la quantité nécessaire à l'alimentation humaine. On obtient des rapports similaires pour l'orge, qui sert à l'alimentation animale. Pour la demande en céréales fourragères, l'Öko-Institut a calculé 6 millions de tonnes. La production actuelle d'orge s'élève à 11 millions de tonnes.

Cela permettrait de réduire de moitié les surfaces de céréales. Voilà pour la théorie. Mais cette approche ne fonctionne pas dans la pratique. La raison en est simple : l'agriculture n'est pas une usine de production de boulons. Sa production est très volatile, tant au niveau des quantités récoltées que de la qualité. Il n'existe pas de processus fixe avec des quantités d'entrée et de sortie fixes, comme c'est le cas pour les process industriels, un processus qui constitue la base de la plupart des considérations scientifiques. Il y a beaucoup trop d'impondérables, comme les conditions météorologiques, les maladies ou les parasites.

Définir une surface de culture en fonction de la quantité demandée et du rendement escompté, sans tenir compte des variations de rendement et des exigences de qualité, est une grille beaucoup trop grossière pour garantir une sécurité d'approvisionnement suffisante. Si cette méthode faisait école à l'échelle mondiale, une pénurie d'approvisionnement serait inévitablement préprogrammée chaque année. De nombreux pays deviendraient ainsi dépendants des grands exportateurs, comme la Russie. Pour le blé, il suffit de regarder l'année dernière. Une période de mauvais temps est venue perturber la récolte de blé. La qualité du blé en a souffert. Ceux qui ont présenté leur blé battu après la phase de pluie au commerce agricole se sont vu répondre de manière lapidaire que la marchandise était au mieux encore de qualité fourragère.

L'élevage est important pour l'alimentation mondiale

La moitié environ de la récolte de blé a été touchée par la perte de qualité. Pour les minoteries et les secteurs alimentaires en aval, cette marchandise de moindre qualité n'entre pas en ligne de compte pour une transformation ultérieure. De ce fait, les lots prêts à être transformés étaient relativement rares sur le marché. De leur propre aveu, les acheteurs ont réussi tant bien que mal à réunir les quantités de blé de qualité boulangère nécessaires.

L'aspect selon lequel on pourrait contribuer à l'alimentation mondiale avec moins d'animaux et exporter le surplus de production passe également à la trappe dans ce cas. Les places commerciales internationales, comme les bourses, ont également des exigences de qualité. Le blé germé ne les remplit pas.

La leçon à en tirer est la suivante : une sécurité d'approvisionnement suffisante ne peut être obtenue que par une majoration de la production en fonction des risques. Comme le montre l'exemple, celle-ci peut atteindre une dimension tout à fait respectable. Le système actuel y parvient. L'élevage joue un rôle important à cet égard. Les lots de moindre qualité, les sous-produits issus de la transformation ou encore les excédents peuvent rester dans la chaîne alimentaire via l'alimentation animale

En outre, les ruminants transforment la biomasse non utilisable par l'homme en aliments de qualité. L'impact climatique critiqué dans ce contexte est dû en grande partie à la méthode d'établissement du bilan. Les surfaces fourragères sur sols minéraux ont un potentiel élevé de puits de carbone, qui correspond à près de 5 tonnes de gaz carbonique/ha. Si cela était pris en compte, le calcul global serait différent.

Conclusion concernant le mythe 2, « Besoin en surfaces nettement réduit » : Le potentiel d'économie de surfaces est moins important que ne le suggèrent les simples calculs de l'offre et de la demande. Ils ne tiennent pas suffisamment compte des impondérables de la production végétale. Pour des raisons de sécurité d'approvisionnement, le potentiel d'économie de surfaces réalisable dans la pratique est donc nettement inférieur aux valeurs calculées en théorie.

Mythe 3 : La transformation de l'agriculture ne se fait pas au détriment des agriculteurs

L'une des promesses de la politique agricole des Verts est de vouloir maintenir une agriculture à petite échelle et le plus grand nombre possible d'exploitations. Pour cela, les entreprises agricoles doivent reposer sur une base économique solide. Jusqu'à présent, la transformation des matières premières végétales en lait et en viande constituait une solution. Elle augmente la valeur ajoutée par hectare et permet ainsi aux exploitations les plus faibles en surface d'exister économiquement. Le rapport de politique agricole du gouvernement fédéral fournit des chiffres à ce sujet.

Une exploitation laitière peut s'en sortir avec 70 ha, alors qu'une exploitation purement de grandes cultures doit avoir environ le double de surface sous la charrue. En outre, elle n'emploie que la moitié de la population.

Sans élevage, de nombreuses exploitations devraient abandonner

Si l'on se base sur les 7,3 millions d'hectares de surface agricole restants dans l'étude de l'Öko-Institut, cela représente une division de la surface actuelle par plus de deux. La réduction massive du cheptel bovin et porcin entraînerait en outre un déplacement du bénéfice par hectare de surface agricole utilisée vers les cultures. Celui-ci est environ deux fois moins élevé à l'hectare que dans les exploitations d'élevage.

La moitié de la surface et la moitié du bénéfice par hectare restant, on voit donc clairement dans quelle direction on va. Si on ne gagne plus qu'un quart de l'argent, cela se répercute proportionnellement sur le nombre d'exploitations.

Conclusion sur le mythe 3, « La transformation ne se fera pas au détriment des agriculteurs » : Quels que soient les engagements politiques pris, la « force normative des faits » réside dans les chiffres économiques. Une diminution de la surface cultivée priverait de nombreuses exploitations du fondement de leur activité économique. De plus, la valeur ajoutée par hectare dépend fortement de l'orientation de l'exploitation. Elle est plus élevée dans l'élevage que dans les cultures. Moins de surface et moins de bénéfice par unité de surface signifieraient la fin de la plupart des exploitations.

Planetary Health Diet et élevage d'animaux de rente : où pourrait aller le voyage ?

Aujourd'hui, il est clair que le Planetary Health Diet doit évoluer. D'un point de vue nutritionnel, l'approvisionnement en micronutriments et la disponibilité réduite des protéines par rapport aux aliments d'origine animale se sont révélés être des champs d'action nécessaires. Le débat scientifique est en cours à ce sujet.

Contrairement à la médecine, la mise en œuvre agricole ne fait guère l'objet de controverses. Les domaines problématiques n'ont guère été abordés jusqu'à présent. Dans ce domaine, la pression vient plutôt de l'extérieur, par exemple des associations de protection de l'environnement, qui font grand cas du modèle. Il reste à voir dans quelle mesure le modèle scientifique sera modifié pour être mieux mis en œuvre dans le secteur agricole.
_______

* Source : Faktencheck: Landwirtschaft ohne Tiere - drei Mythen aufgedeckt | agrarheute.com

https://seppi.over-blog.com/2024/05/ver ... ontes.html

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Re: MA SERRE DOUBLÉE AVEC 2 PLASTIQUES

Message par SERRE du SUD »

:mrgreen: Bonjour à toutes et à tous !

L'escroquerie internationale des 'gaz à effet de serre' (HAHAHA !) bat son plein !
Après le gaz carbonique qui serait méchant voire mortel dans notre environnement alors qu'il ne représente que 0,041 % ! voici qu'arrive celui du méthane (0,000001894 % de notre atmosphère !) est aussi un gaz rare qui se recycle immédiatement (sans quoi la vie sur Terre ne serait jamais apparue !).

Tout est dans le fait de l'ignorance voulue (censure sur Internet) de la population mondiale.

Si je prends l'exemple du gaz carbonique, c'est un gaz FROID (responsable des gelées matinales) qui n'EXISTE PLUS à une température supérieure à 30,9°C.
Or, il est fréquemment entendu que nous expirons du gaz carbonique ! A savoir que le corps humain est à 37°C (et les poumons aussi !). Donc: Impossibilité d'expulser du gaz carbonique des poumons à 37°C et pire encore sorti des pots d'échappement de voitures ou cheminées d'usines bien supérieures à 31°C !
Ce n'est pas moi qui le dit c'est la science.

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